Citations

« Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu. »
Sagesse asiatique.

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« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »

Benoît XVI, Palais de l’Élysée, 12 septembre 2008

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Mise en ligne (colonne de droite) de documents de l'Institut de Relations Internationales & Stratégiques (IRIS)

http://www.iris-france.org/



Nouvelle offensive d'été de l'ARN

Nouvelle offensive d'été de l'ARN
Si vous souhaitez vous joindre à cette action, l'ARN tient à votre disposition l'affiche ci-dessus. Pour tout renseignement prenez contact avec : René Delacroix 16 rue Marcelin Berthelot. 92230 Gennevilliers. TéL 01 47 98 25 41

dimanche 27 décembre 2009

Changer le peuple

Un journaliste de nos amis nous communique l'information ci-après qui se passe de commentaires. Il a assisté à un séminaire ministériel organisé par Éric Besson, sur le thème « Les migrations en Méditerranée : construire un espace de prospérité partagé ». De nombreux journalistes couvraient le séminaire.

Y étaient conviés des ministres des pays suivants : Chypre - Grèce - Espagne - Croatie - Malte - Monténégro - Maroc - Égypte.
Un expert planta d’emblée le décor, basant son argumentaire sur le fait que puisque la population européenne vieillissait, trois possibilités s’offraient à nous.

« 1) Soit nous retardons l’âge de la retraite : mesure pas très populaire ;

2) Soit nous mettons davantage les femmes au travail : cela aura une incidence négative sur le taux de fécondité.

3) Soit nous organisons les migrations internationales. »

Et sur ces mots destinés de toute évidence à permettre aux ministres présents d’enchaîner avec leurs discours bien préparés, le fil conducteur de la matinée fut que, puisque le Nord ne faisait pas d’enfants, le Sud en faisant beaucoup (cela a été dit), il fallait donc s’atteler à organiser les flux migratoires du Sud vers le Nord. Plusieurs ministres ont même déclaré que de toute façon l’immigration se produisant de manière illégale lorsqu’elle n’était pas autorisée, il était préférable de la légaliser et de l’organiser. Il a aussi été dit qu’en Tunisie, 75 % des jeunes envisageaient de quitter leur pays…

Voici un florilège de paroles prononcées par des ministres des pays du Nord :

« Les pays du Nord ont besoin de main d’œuvre. »

« L’immigration augmente la compétitivité des pays du Nord. »

« L’immigration profite aussi bien aux pays du Sud que du Nord. »

« Comme la main d’œuvre qui vient du Sud est peu qualifiée et que les pays du Nord auront de plus en plus besoin de main d’œuvre qualifiée, les pays du Nord doivent aider à former la main d’œuvre du Sud afin qu’elle réponde mieux à leurs besoins. »

« Nous devons conduire une politique souple de visas afin de faciliter la circulation des flux d’immigration. »

« Nous devons faciliter le fait que les immigrés gardent le contact avec leurs pays d’origine et y transfèrent une partie de leur argent. »

« Nous devons organiser les sociétés d’accueil de manière à ce qu’elles reconnaissent qu’elles sont diverses. De toute façon, c’est le modèle qui est appelé à se répandre partout. La priorité doit être donnée à la lutte contre les discriminations. »

« Un monde sans immigration serait un monde plus divisé, plus radical. »

« La pauvreté et le manque de développement ont été causés par la colonisation. »

« L’immigration est peut-être la solution à la crise », prononcé très solennellement par le ministre suédois, invité en tant que représentant du pays qui préside actuellement l’Union Européenne.

Les deux ministres du Sud demandèrent que leurs ressortissants soient bien traités dans les pays hôtes, et que dans l’empressement à organiser les flux du Sud vers le Nord, on veille à faire en sorte de maintenir le lien prégnant avec les pays d’origine, afin que les migrants transfèrent des fonds dans leur pays (souvenons-nous que c’est autant d’argent qui sera ôté du projet éducatif de leurs enfants). Le ministre marocain a insisté sur le fait que ces migrants (la communauté des Marocains résidant à l’étranger) constituaient une diaspora, et que le Maroc s’en occuperait de manière très active. La ministre égyptienne prit bien soin de commencer son discours par « Au nom d’Allah le plus miséricordieux… » et formula le souhait que la langue arabe soit beaucoup plus présente à l’avenir dans le bassin méditerranéen.

Éric Besson conclut ainsi la matinée : « Nous devons accélérer et accroître les flux de circulation. »

A bon entendeur...

Tous les ministres ont signé la « Recommandation de Paris sur la promotion de la mobilité des jeunes dans l’espace méditerranéen », dont voici un extrait : « Réaffirmant leur détermination à bâtir un avenir méditerranéen commun, ils sont convenus de la nécessité de donner priorité à la jeunesse dans la construction d’un espace méditerranéen de la circulation des personnes, du savoir et des compétences. »

Un office méditerranéen de la jeunesse sera créé d’ici le 1er janvier 2011. Il aura pour but de faciliter la libre circulation des étudiants de certaines filières universitaires, ainsi que de leur offrir des bourses.

Une perle fut répétée à plusieurs reprises : « Il serait intéressant que l’on se penche un jour sur les besoins réels de main d’œuvre des pays du Nord, car nous ne les connaissons pas » !!! N’importe quel esprit sainement constitué aurait pourtant commencé par là ! À aucun moment il n’a été question de l’existence de chômeurs en Europe, et donc encore moins de leur nombre, ni d’étudiants pauvres qu’il fallait peut-être aider en Europe.

Durant toute cette matinée, il était manifeste que les peuples européens n’intéressaient pas les ministres européens. C’était comme si l’Europe était une terre inhabitée ou qui allait très prochainement le devenir, et qu’il convenait de la peupler. Le seul moment où on put penser que dans leurs esprits des Européens existaient encore, c’est quand il fut fait mention de la nécessité de lutter contre les discriminations dont les migrants seraient victimes.

Cette matinée a montré, si c’était encore nécessaire, à quel point ces « élites » européennes se préoccupaient parfois bien davantage des intérêts de peuples étrangers que de ceux de leurs propres peuples. Ce sont bien elles qui sont responsables de la situation actuelle, et non pas les immigrés. Désormais, seuls les peuples européens pourront épargner le chaos à leurs pays, et sauver par la même occasion leurs vies et celles de leurs descendants, car il est clair que ce qui nous est préparé par des dirigeants qui ne s’en rendent même pas compte, c’est la prolifération des Balkans à travers l’Union Européenne. Nous sommes là bien loin du rêve des pères fondateurs !

Chaque citoyen doit œuvrer à l’émergence d’une véritable conscience collective qui nous aidera à arrêter la course folle vers les Balkans. Si un peuple européen y parvient, tous les autres suivront la même voie, car chaque peuple observe à présent ses voisins. Pour y parvenir, il est indispensable de fournir des arguments et des clés de décryptage à nos proches, nos amis, nos collègues, ainsi qu’à tous les politiques dont le cœur bat encore avec celui des Français, et qui peuvent ainsi devenir des porte-voix de la cause la plus importante qui soit : la cohésion nationale. La puissance jaillit entre les hommes lorsqu’ils agissent ensemble !

jeudi 5 novembre 2009

Projet loi modifiant les pratiques agricoles

(Retour sur l'un de nos communiqué du 12 janvier 2009).

Projet loi modifiant les pratiques agricoles

Le projet de loi va modifier les pratiques agricoles.

Réduire de 50 % l'usage des pesticides, tripler les surfaces agricoles en « bio », certifier 50 % des exploitations agricoles... Les objectifs du Grenelle de l'environnement sont bien connus depuis un an. Restait à connaître les moyens de les atteindre. C'est désormais chose faite avec la présentation, hier, d'un projet de loi concoté par les services de Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Écologie. Pour le monde agricole, un certain nombre de changements importants sont à attendre.

Pesticides. Soucieux de réduire l'usage et les risques liés aux pesticides, les pouvoirs publics privilégient deux axes : la formation et l'encadrement. Ainsi, toutes les personnes utilisant des pesticides dans le cadre de leur activité professionnelle - au premier rang desquelles les agriculteurs - devront être titulaires d'un certificat. Celui-ci attestera d'une bonne connaissance des produits par l'utilisateur. Les jardiniers amateurs sont également ciblés : toute publicité en leur direction est interdite en matière de pesticides.

Eau potable. En cas de menace sur l'eau potable, le projet de loi permet des limitations ou des interdictions de produits chimiques de synthèse autour des aires d'alimentation des captages. L'implantation de prairies permanentes ou de culture ligneuses y sera privilégiée. Objectif : identifier et protéger 500 captages, en 2012. À l'issue d'une période de trois ans, le préfet pourra rendre ces mesures obligatoires si les résultats sont insuffisants.

Zones humides. Le Grenelle a fixé comme objectif l'acquisition dans les cinq ans de 20.000 ha de zones humides particulièrement menacées. Une première. Ce type d'opération était jusqu'à maintenant essentiellement du ressort du Conservatoire du littoral et des rivages lacustres.

Certification environnementale. Un dispositif de certification environnementale, volontaire et graduée, est créé pour les exploitations agricoles. Toutefois, son contenu et sa mise en oeuvre sont renvoyés à des décrets. La « haute valeur environnementale », stade ultime de cette certification, reste également à définir.

Trame verte. Quelles seront les zones écologiques à maintenir ou restaurer pour constituer le maillage de la Trame verte et bleue ? Le projet de loi se garde d'apporter une réponse. Il définit la méthodologie à utiliser sur le terrain, associant l'État, la région et les acteurs locaux. Si la notion de continuité écologique pourra être prise en compte dans les documents d'urbanisme, la loi n'impose aucun type de gestion particulière sur ces espaces. Il reviendra aux acteurs locaux de le décider éventuellement, par voie contractuelle.

Le « Bio ». L'agriculture biologique ne fait pas l'objet de mesures spécifiques dans ce projet de loi. Deux mesures en faveur des agriculteurs « bio » ont d'ores et déjà été adoptées dans la loi de Finances 2009 : le doublement du crédit d'impôt et l'exonération de taxe foncière sur les propriétés non bâties.

Jean-Louis Borloo espère boucler l'examen parlementaire de ce texte ainsi que la loi d'orientation qui la précède d'ici l'été.

vendredi 30 octobre 2009

Identité nationale

2007 : Finkielkraut : immigration et identité nationale


2007 : Nicolas Sarkozy : identité française

http://www.youtube.com/watch?v=HpttGntCPZM

2009 : Jean-François Copé : PLFSS et Identité Nationale

http://www.youtube.com/watch?v=plw0gcJCCE0

2009 : Marine Le Pen : Pour un Grenelle de lIdentité Nationale

http://www.youtube.com/watch?v=mvOPGR9DM3A

2009 : Identité nationale & Islam

http://www.youtube.com/watch?v=Qd_bI0D5ftk

samedi 19 septembre 2009

La France paiera-t-elle ?

La France paiera-t-elle ?

L’Europe, ou les institutions qui en tiennent lieu, vient de traiter la France comme une vulgaire colonie !

Sous prétexte que les producteurs de fruits et légumes et les pécheurs Français ont touché « trop » de subventions entre 1992 et 2002, la Commission de Bruxelles compte obliger l’Etat et nos agriculteurs à rembourser environ 500 millions d’euros ! Cette somme astronomique serait composée des aides « trop perçues » et des intérêts . Comme si les Français devaient travailler pour payer des « intérêts » à l’Europe.

Cela amène plusieurs précisions :

Premièrement : Ces « aides » européennes sont de l’argent français.

La France donne chaque année plus d’argent qu’elle n’en reçoit.

« En 2007 contribution au budget 19 milliards d’euros, subventions 11 milliards d’euros ! » Il est patent que le système est mal géré.

Deuxièmement : La France est un pays indépendant et souverain.

Personne n’a le droit de lui imposer quoi que se soit. En cela la Constitution française protège en principe le peuple et est en contradiction avec les traités européens.

Troisièmement : Comment les agriculteurs vont-ils faire pour rembourser cet argent ?

Les exploitations ne sont pas très rentables et certaines ont disparues, d’autres ont été vendues, des exploitants sont partis en retraite.

Comme toujours des partis politiques TOUS soumis aux diktats de Bruxelles sont les premiers à « défendre » les cultivateurs, mais les derniers à refuser les traités scélérats qui nous amènent à ces véritables provocations, qui ont pour but d’affaiblir la France pour les futures négociations de 2010 de la politique agricole commune « la PAC ».

Sans réelle indépendance nationale nous nous condamnons à subir ce type de mesures aussi injustes que stupides.

La RUPTURE avec l’Union Européenne n’a jamais été aussi nécessaire

mardi 4 août 2009

Ce nouvel Ordre, dont personne ne veut


On sait les diviseurs qui prétendent nous diriger capables de tous les coups tordus. Mais, ils ne triomphent qu'à la mesure du silence des braves gens. Espérons que l'affaire de l'Ordre Infirmier qu'on instaure subrepticement, contre l'avis de tous, va s'envenimer méchamment. Dire que les professionnels de santé n'aiment pas la Grosse Dame semble désormais au-dessous de la réalité, quand on assiste quotidiennement aux défilés protestataires de services hospitaliers complets, de l'humble secrétaire jusqu'au patron renommé, unis dans une même colère envers le démantèlement du système de santé en France. Il monte une haine qu'il faudrait canalyser jusqu'à chasser certains imposteurs de leurs sinécures d'où ils nous plongent dans la ruine.

La CFDT Santé-Sociaux prétend mener la fronde mais, trop maquée avec le pouvoir, elle n'est pas crédible.

Ce qui compte, ce sont les actes et non pas les paroles. Alors qu'une clique de décideurs a plongé la France dans des décennies de dettes abyssales, quand, malgré les restrictions, les flicages tatillons, les déficits des Caisses maladies ont doublé d'une année sur l'autre, il devrait être temps de comprendre, dans les faits, qu'il n'y a strictement rien à attendre des corrompus incompétents qui usurpent les postes qu'ils occupent.

Que ce soit 75 € ou les 30 € initialement annoncés pour faire taire les critiques, ce que les professionnels de santé doivent refuser, c'est le PRINCIPE même d'une nouvelle ponction. Cette « taxe pour pouvoir exercer » - comme l'écrit un tract de le CFDT - enflera évidemment d'année en année, comme toutes les cotisations, franchises, qu'on présente d'abord comme modeste, tel le forfait hospitalier, la CSG ou la CRDS. Ponctions qui ne permettent jamais de résoudre les problèmes-prétextes pour lesquelles on les instaure...

Que ce soit 1 centime ou 75 € n'y change rien. Il ne faut pas compter sur la CFDT pour obtenir l'abrogation pure et simple de ce prélèvement car l'Ordre infirmier est une opportunité pour elle de placer des gens qui seront payés à ne rien faire sinon à empêcher les infirmiers qui bossent de le faire sereinement. C'est le mode de fonctionnement actuel des syndicats politisés...

Cet ordre a été imposé par le caprice du Prince, sous Chirac : Roselyne Bachelot et Nicolas Sarkozy étaient déjà « aux affaires », même si Philippe Bas et Dominique de Villepin ont signé le texte. Personne n'avait pourtant rien demandé, sinon du personnel pour combler la pénurie endémique dans certains services hospitaliers. Cette nouvelle instance administrative supplémentaire appellera arbitrairement à comparaître devant elle n'importe quel professionnel avec le pouvoir de le sanctionner. Alors que les vrais responsables trouvent toujours une argutie juridique pour se soustraire aux conséquences coûteuses pour la collectivité des fautes et des crimes qu'ils commettent, les infirmières de base seraient encore inquiétées, poursuivies, sanctionnées ? Et on entend Debré - député UMP mais frère de l'autre - pleurnicher dans les media sur les « pauvres infirmières » qui, que, et blablabla ; sur les Instituts de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) qui ne parviennent même plus à recruter suffisamment de candidats en première année, les heures supplémentaires qui gorgent les « comptes épargne temps » sans possibilité de les apurer et qui seront payées à coups de trique ou aux Calendes grecques. Quels hypocrites osant se plaindre des conséquences funestes du chaos qu'ils ont contribué à instaurer ! Mais le gogo gobe.

Cet Ordre n'a aucune légitimité, et ses thuriféraires ne peuvent absolument pas prétendre avoir reçu l'onction démocratique. Un taux de participation de 7% aux "élections" de 2008, pour lesquelles on avait sorti des listes de parfaits inconnus, signe mieux que tout discours le profond rejet de cette structure. En démocratie, il paraît que le peuple gouverne, pour le peuple, par le peuple. Le précédent fâcheux du référendum du 29 mai 2005 démontre le contraire, puisque la Constitution européenne, clairement rejetée par les urnes, a néanmoins été imposée en 2008 par le Congrès réuni à Versailles pour ratifier le Traité de Lisbonne.

Puisque nos élus ne nous représentent pas, il faut chasser ces imposteurs et exiger partout une juste représentation des citoyens. L'argument avancé par Debré et Consorts de la nécessité de « majorités qualifiées », « indispensables pour gouverner », n'est pas recevable. Une fois élus, que font-ils de leurs majorités aux scores soviétiques, comme celui de mai 2002 ? La ruine, le chaos, les taxes, les impôts, les fraudes, les mesures coercitives qui restreignent la liberté des gens honnêtes, sont directement imputables aux décisions qu'ils n'ont jamais prises, parce qu'ils ne le voulaient pas - et ce sont alors des traîtres aux promesses faites aux électeurs - ou parce qu'ils ne savaient pas, et dans ce cas ce sont des criminels incompétents.

Si la seule finalité de l'Ordre infirmier est de conformer une fois de plus la France au carcan européiste, comme l'indiquent les textes, raison de plus encore pour le refuser, sans négociation possible. Et comment le dire mieux qu'en rejetant, une fois encore, lors des élections européennes du 7 juin prochain, les partis complices de cette Europe constructiviste, folle, coupée des réalités et du peuple ?


Bertrand Chassagne. Rivarol n° 2908 du 5 juin 2009.


samedi 16 mai 2009

L'ARN demande les soutien des mouvements et organisations souverainistes


A tous les mouvements qui ont appelé a voter NON au référendum du LE 29 MAI 2005 sur la Constitution Européenne.
L’A.R.N. organise dans plusieurs manifestations le 29 mai 2009 à 18 heures 30 devant la Mairie célébrant la victoire du NON lors du référendum de 2005 sur la constitution européenne.
Elle invite tous les citoyens et les mouvements qui ont participés à cette victoire a venir a ses cotés pour rappeler à certains de nos gouvernants que nous avons pas oublié leur trahison en signant le traité de Lisbonne qui est le frère jumeau de la constitution refusée par le peuple le 29 mai 2005.

Les villes de France qui organisent devant leurs Mairie cette manifestation sont :

Bordeaux, Compiègne, Dreux, Montluçon, Nancy, Surgères, Béziers.

L’A.R.N. appelle tout les français qui souhaitent que la France retrouve sa souveraineté à venir massivement soutenir les partisans du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes pour que le 29 mai jour anniversaire d’un référendum historique devienne fête nationale de la souveraineté populaire

Le président René DELACROIX

journée nationale d'action et de manifestation du 29 mai 2009

NON A L’EURODICTARURE

Le peuple français a rejeté le 29 mai 2005 le projet de constitution européenne. Or ce mène projet a été ratifié sous le nom de traité de Lisbonne en ignorant la volonté du peuple.

Face a cette trahison l’A.R.N. considère comme nul et non avenu toutes les décisions qui serait prise en application de ce traité.

Afin de protester contre cette forfaiture et ce déni de démocratie, l’A.R.N. organise des manifestations sur les villes Bordeaux, Nancy, Surgères, Montluçon, Dreux, Compiègne à 18 h 30

Elle appelle tous les patriotes et tous les démocrates a se joindre a elle afin de manifester massivement leur opposition a ce coup d’état légal

MANIFESTATION

Rassemblement à COMPIEGNE (Oise)
à 18H30 devant l’hôtel de ville

Rassemblement à SURGÈRES (Charente-Maritime)
à 18H30 devant l’hôtel de ville

Rassemblement à NANCY (Meurthe et Moselle)
à 18H30 devant l’hôtel de ville

Rassemblement à MONTLUCON(Allier)
à 18H30 devant l’hôtel de ville

Rassemblement à DREUX (L’EURE ET LOIRE)
à 18H30 devant l’hôtel de ville

Rassemblement à BORDEAUX (GIRONDE)
à 18H30 devant l’hôtel de ville

La manifestation de Bordeaux est organisée conjointement par l’A.R.N. et l’Union Pour la France ( UPF)

Une autre manifestation est organisée par le Comité bitérrois contre la Constitution européenne,

devant la maison natale et la statue de Jean Moulin a Béziers à
18 heures au Champs de Mars ; dépôt de gerbe et allocution


L’A.R.N. appelle tout les français qui souhaitent que la France retrouve sa souveraineté à venir massivement soutenir les partisans du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes pour que le 29 mai jour anniversaire d’un référendum historique devienne fête nationale de la souveraineté populaire

vendredi 20 mars 2009

Pétition diffusée par l'ARN


Pétition

Le peuple français a rejeté le 29 mai 2005 le projet de constitution européenne. Or, ce même projet a été signé, en violation du suffrage universel, par le chef de l’Etat sous la forme du traité de Lisbonne.

En ratifiant le traité de Lisbonne, le parlement a également ignoré la volonté du peuple et trahi sa confiance.

Le traité de Lisbonne constitue une atteinte décisive à l’indépendance nationale et menace directement l’unité de la nation. Il met fin à notre liberté et à notre faculté, acquises au prix de tant de sacrifices, de décider de notre avenir.

Il jette les bases juridiques de l’inégalité en droits des citoyens, en violation de nos traditions historiques et de notre conception de la vie en société.

Il est donc illégitime et inconstitutionnel. Les Français jugeront, le moment venu, les auteurs de cette forfaiture.

En conséquence, nous, signataires de ce manifeste, considérons à compter d’aujourd'hui, 4 février 2008, comme nuls et non avenus tous les textes, internes et européens, ainsi que tous les jugements, qui seront à l’avenir pris, directement ou indirectement, en application du traité de Lisbonne.
Signature :


NOM:……………………………………………………… Prénom:………………………………………………

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Téléphone:……………………………………..Courriel:……………………………………………………………..
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Avec 30 euros nous imprimons 100 affiches. Avec 10 euros nous imprimons 200 tracts
Chèques à l’ordre de « l’ARN » et Pétition à retourner à : Alliance pour la résistance nationale.16 rue Marcelin Berthelot 92230 Gennevilliers

LETTRE OUVERTE A MESDAMES & MESSIEURS LES DEPUTES ET SENATEURS DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE


NON AU RETOUR DE LA FRANCE DANS LA STRUCTURE MILITAIRE
INTEGREE DE L’O.T.A.N.

LETTRE OUVERTE A MESDAMES & MESSIEURS LES DEPUTES ET SENATEURS DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE


René DELACROIX Président de l’Alliance pour la Résistance Nationale Paris, le 1er mars 2009

Mesdames, Messieurs les parlementaires, Le retour de la France dans la structure militaire de l’O.T.A.N., décidé par le Président de la République sans consultation préalable du peuple Français et officialisé prochainement lors du sommet de cette organisation les 3 et 4 avril 2009 à Strasbourg, engage gravement le pays au-delà du présent quinquennat.

N. SARKOZY non seulement rompt avec la doctrine classique de tous les chefs d’Etat de la Vème République mais commet une double faute tant stratégique et militaire que politique et diplomatique :

En dépit de l’obsolescence manifeste de l’O.T.A.N. due à la disparition en 1990 de la menace que constituait l’Union soviétique sur l’Europe occidentale, mise sous tutelle et alignement servile de notre souveraineté militaire sur les intérêts géostratégiques des Etats-Unis d’Amérique ( aujourd’hui l’Afghanistan, demain l’Iran ? ) avec pour corollaire, perte de l’indépendance de notre force de dissuasion nucléaire. - Abandon de toute politique véritable de défense de nos intérêts nationaux, affaiblissement de notre influence diplomatique dans le monde, sans omettre le surcoût inutile de l’opération pour nos finances publiques dans un contexte globalisé de crise financière et économique.

La France n’a cessé depuis sa création en 1949 d’être membre de l’O.T.A.N. et l’alliée des Etats-Unis d’Amérique mais ses intérêts supérieurs ne doivent en aucun cas être confondus avec ceux d’autres puissances sous couvert d’une organisation militaire internationale.

7 mars 1966 : « La France se propose de recouvrer l'entier exercice de sa souveraineté »

Voici la lettre que le général De Gaulle, président de la République française, envoyait, il y a 43 ans, le 7 mars 1966, au président américain Lyndon B. Johnson pour l'informer de la décision de la France de recouvrer l'entier exercice de sa souveraineté sur le sol national et de son intention de retirer ses forces des commandements intégrés de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (O.T.A.N.). ( Source : De GAULLE, Charles. Lettres, notes et carnets (janvier 1964-juin 1966). Paris: Plon, 1987, p. 261-262. Copyright © Editions Plon )

« Cher monsieur le président, Notre Alliance atlantique achèvera dans trois ans son premier terme. Je tiens à vous dire que la France mesure à quel point la solidarité de défense ainsi établie entre quinze peuples libres de l'Occident contribue à assurer leur sécurité et, notamment, quel rôle essentiel jouent à cet égard les États-Unis d'Amérique. Aussi, la France envisage-t-elle, dès à présent, de rester, le moment venu, partie au Traité signé à Washington le 4 avril 1949. Cela signifie, qu'à moins d'événements qui, au cours des trois prochaines années, viendraient à changer les données fondamentales des rapports entre l'Est et l'Ouest, elle serait, en 1969 et plus tard, résolue, tout comme aujourd'hui, à combattre aux côtés de ses alliés au cas où l'un d'entre eux serait l'objet d'une agression qui n'aurait pas été provoquée.

Cependant, la France considère que les changements accomplis ou en voie de l'être, depuis 1949, en Europe, en Asie et ailleurs, ainsi que l'évolution de sa propre situation et de ses propres forces, ne justifient plus, pour ce qui la concerne, les dispositions d'ordre militaire prises après la conclusion de l'alliance soit en commun sous la forme de conventions multilatérales, soit par accords particuliers entre le gouvernement français et le gouvernement américain.

C'est pourquoi la France se propose de recouvrer sur son territoire l'entier exercice de sa souveraineté, actuellement entamé par la présence permanente d'éléments militaires alliés ou par l'utilisation habituelle qui est faite de son ciel, de cesser sa participation aux commandements « intégrés » et de ne plus mettre de forces à la disposition de l'OTAN.

Il va de soi que, pour l'application de ces décisions, elle est prête à régler avec les gouvernements alliés et, en particulier, avec celui des États-Unis, les mesures pratiques qui les concernent. D'autre part, elle est disposée à s'entendre avec eux quant aux facilités militaires à s'accorder mutuellement dans le cas d'un conflit où elle s'engagerait à leurs côtés, et quant aux conditions de la coopération de ses forces et des leurs dans l'hypothèse d'une action commune, notamment en Allemagne.

Sur tous ces points, cher monsieur le président, mon gouvernement va donc prendre contact avec le vôtre. Mais, afin de répondre à l'esprit d'amicale franchise qui doit inspirer les rapports entre nos deux pays et, permettez-moi de l'ajouter, entre vous et moi, j'ai tenu, tout d'abord, à vous indiquer personnellement pour quelles raisons, dans quel but et dans quelles limites la France croit devoir, pour son compte, modifier la forme de notre alliance sans en altérer le fond.

Je vous prie de bien vouloir agréer, cher monsieur le président, les assurances de ma très haute considération et l'expression de mes très cordiaux sentiments. »

L'indépendance de la France bradée aux américains par N. Sarkozy, aucun président n'avait osé ! Et vous, qu’allez-vous faire ?

A retourner à : A.R.N. 16 rue Marcellin Berthelot
- 92 230Gennevilliers. Téléphone: 01 47 98 25 41 courriel : gennevilliersrenouveau@hotmail.fr

vendredi 9 janvier 2009

jeudi 8 janvier 2009

L'élevage porcin en déroute dans les pays de l'Union Européenne

Entre le 1er juillet 2008 et le 30 juin 2009, la production porcine (Pib) européenne (UE à 27) chuterait de 3,4 % par rapport à la même période de 2007-2008, estime Agreste dans ses statistiques. Elle devrait atteindre 257 millions de têtes contre 266 millions précédemment. La Pologne, cinquième producteur européen, pronostique une baisse de production de 15 % sur le premier trimestre 2009, soit une perte de 1,8 million de têtes.
Cette diminution prolonge la tendance entamée l'année dernière et liée aux fortes restructurations imposées par L'UE dans ce pays.
Globalement, dans les pays à l'est de l'Europe, la baisse au premier trimestre atteindrait
11,6 %.Dans l'UE à 15, la baisse serait plus modérée, la Pib passant de 106 500 têtes à 104 000 au premier semestre 2009 (- 2,4 %). L'Allemagne reste le principal pays producteur, avec une production qui ralentirait de 2 % au premier semestre 2009. La baisse anticipée par l'Espagne atteindrait 3,5 %.

Le Danemark resterait au troisième rang juste devant la France malgré une production attendue pour le premier semestre 2009 en baisse de 4,5 % et un cheptel en fort recul. Aux Pays-Bas, une baisse de production est également envisagée mais elle est moindre que dans les pays voisins (- 1,4 %). En Belgique, la production resterait stable.


Qui a dit que l'Europe favorisait la croissance et l'emploi?

80% de la production d'oranges et de jus consommés en Europe viennent du Brésil

Originaire de Chine, l’orange est un fruit hybride , créé à partir de la tangerine et du pamplemousse. Après l’orange amère, introduite en Europe du temps des croisades, l’orange douce a été découverte par les navigateurs Portugais, qui l’ont apportée en Europe au XVIème siècle. C’est donc tout naturellement que la culture de l’orange s’est développée ensuite au Brésil. Aujourd’hui, le pays est le premier producteur mondial, avec plus de 18 millions de tonnes en 2007, soit près de 30% de la production internationale.

Le second producteur, les Etats-Unis, ne produisent ‘‘que’’ 7 millions de tonnes, et la France 800…Le marché du jus d’orange est encore plus spécifique. Le jus d’orange concentré congelé (Frozen Concentrated Orange Juice ou FCOJ) est réalisé à partir des oranges pressées. Le FCOJ est par ailleurs coté sur le New York Board of Trade (NYBOT) où il fait l’objet de contrats à termes et d’options. Deux zones assurent 90% de la production mondiale de FCOJ : l’État de São Paulo et la Floride.

Mais les Etats-Unis consommant la quasi-totalité de leur production, le Brésil représente à lui seul 80% des exportations totales. La forte concentration des zones de production rend le cours du FCOJ très sensible aux variations climatiques. Les fortes intempéries, dont a été victime la Floride en 2004 et 2005, ont ainsi fait flamber le cours, qui est passé de 60 centimes de dollars la livre mi-2004, à plus de 200 centimes début 2007, pour retomber à 100 centimes fin 2008… Quatre groupes détiennent 90% de la production d'oranges et de jus : 2 groupes brésiliens, Citrosuco et Cutrale, et 2 multinationales, Cargill et Louis Dreyfus.Les principaux consommateurs de jus d’orange sont l’Amérique du Nord et l’Europe qui absorbent à eux seuls 90% des 550 millions de litres jus chaque jour sur la planète.


Les oranges vertes du Brésil
Contrairement à ce que laisse croire leur couleur verte, les oranges du Brésil ne diffèrent pas de celles que l’on trouve en Europe. Tout est une question de température. En effet, lorsqu’il fait suffisamment frais, la chlorophylle contenue dans la peau de l'orange se décolore et laisse apparaître les pigments jaunes et oranges qui se développent lorsque le fruit mûrit. Avec la chaleur, la chlorophylle reste verte et masque ces pigments même lorsque l’orange est bien mûre.

le chômage explose chez les Quinze pays de la zone Euro

Les mauvaises nouvelles pour l'économie européenne s'amoncellent comme prévu en ce début d'année. Alors que le recul du produit intérieur brut est confirmé en recul à -0,2% au troisième trimestre par Eurostat, le chômage explose chez les Quinze.

Il a atteint 7,8% fin novembre, selon l'Office européen de statistiques. C'est son plus haut niveau depuis décembre 2006 où il était monté jusqu'à 7,9%. Au total, près de 12,180 millions d'Européens étaient sans emploi fin novembre contre 11,978 millions en octobre. Après être resté stable à 7,4% entre mai et juillet dernier, le taux de chômage n'a cessé de grimper depuis août. Il a notamment fortement augmenté en Espagne, très affaiblie par la crise immobilière, à 13,4% contre 12,8% en octobre, et 10,6% en mai dernier.

Les chiffres de décembre publiés hier par l'Agence fédérale pour l'emploi témoignent d'une nette remontée (7,4%) du chômage en Allemagne. Malgré sa robustesse, la première économie européenne a vu ses entreprises multiplier les arrêts de production dans l'industrie automobile et geler les embauches.

L'indice de confiance des chefs d'entreprise et des consommateurs s'est effondré en décembre dans la zone euro à son plus bas, niveau jamais enregistré, depuis sa création en 1985, selon la Commission européenne. Il a perdu près de 8 points pour tomber à 67,1 points. En octobre et novembre, il avait déjà fortement chuté, à 80,0 points puis 74,9 points, atteignant alors son plus bas niveau depuis août 1993.

TF1 fait depuis plusieurs mois le forcing auprès de Bruxelles

TF1 fait depuis plusieurs mois le forcing en menant d’intenses activités de lobbying auprès des pouvoirs politiques français et européens via l'asssotiation des chaines privées. Cette association qui regroupe TF1, M6 et Canal-Plus avait commandé un rapport au cabinet de conseil en stratégie AT Kearney et fait le forcing auprès des parlementaires et du président de la République . Un document qui aurait fortement inspiré la suppression de la publicité sur les chaînes publiques.

Martin Bouygues, envoyé spécial de TF1 à Bruxelles selon le journal La Tribune, « est allé lui-même voir dans la capitale belge la commissaire européenne Viviane Reding en 2007 pour discuter la directive sur les services de médias audiovisuels (ex-Télévision sans frontières). TF1 souhaite affaiblir les chaînes publiques comme le prouve un texte envoyé en mars dernier à Bruxelles, le groupe TF1 qui a largement raté son entrée sur la TNT et est incapable d’enrayer la chute de ses audiences dénonce « le bénéfice pour les services audiovisuels publics, de droits spéciaux et d’accès prioritaires à la ressource hertzienne ainsi qu’ à tout nouveau mode de distribution impliquant l’occupation du domaine public. »

La commission Européenne publiera sa nouvelle communication sur les chaînes publiques de télévision pour la mi-2009.

Europol va créer les premiers commissariats virtuels financé par la commission européenne.


Depuis quelques mois, le gouvernement et l'Union européenne multiplient les initiatives pour lutter contre la cybercriminalité sur le Web. L’été dernier, un laboratoire anti-cybercriminalité avait été ouvert, dans le cadre des Assises du Numérique. Plus récemment, en octobre, deux départements (Yvelines et Charente-Maritime) testaient les premiers commissariats virtuels.

Aujourd’hui donc, le ministère de l’Intérieur annonce le lancement du «portail officiel de signalement des contenus illicites de l'Internet», accessible à l’adresse Internet-signalement.gouv.fr. Ainsi, tous les internautes peuvent dénoncer des pratiques interdites pouvant tomber sous le coup de la loi. La FAQ du site précise toutefois en guise de régulation que les contenus nuisibles ou immoraux ne sont pas concernés !

Les données seront traitées par des policiers du Pharos (Plateforme d'harmonisation, d'analyse, de recoupement et d'orientation des signalements). D’ici 2010, un dispositif européen du même genre devrait être mis en place. Il a été décidé lors de la présidence française de l’Union Européenne et sera financé par la Commission européenne, puis placé sous la responsabilité d'Europol.

mardi 6 janvier 2009

Soirée débat et galette traditionnelle de l'A.R.N

L'A.RN
vous présente pour l’année 2009
Ses vœux, de santé, de bonheur, et de PAIX
Pour vous et votre famille

Nous vous invitons à venir passer un agréable moment.
En dégustant.
La traditionnelle GALETTE,
Avec sa non moins traditionnelle
BOLÉE de CIDRE.

Le mercredi 14 janvier 2009
De 19 heures à 21 heures

Monsieur Jean ROUX expert comptable
Commissaire aux comptes,
Vous dédicaceras son livre :
« La grande braderie du patrimoine des français »

Salle 1 Place du Docteur Roux Gennevilliers 92230
Métro « ligne13 » station les Agnettes
Participation. 2 euros

Pour information contacter : M.R.DELACROIX
16, rue Marcelin Berthelot 92230 Gennevilliers
Tel : 01.47.98.25.41. Ou 06.72.43.12.03.
Courriel:
gennevilliersrenouveau@hotmail.fr
Ou a.r.n-connexion@hotmail.fr

jeudi 1 janvier 2009

A minuit, la Slovaquie est entré à son tour dans la zone euro, devenant le 16ème pays à adopter la monnaie unique européenne, et le premier de l'ex-bloc soviétique.

La Slovaquie est le quatrième des nouveaux adhérents à adopter l'Euro: avec son entrée, la zone euro comptera désormais 330 millions de personnes, et un PIB global de plus de quatre milliards d'euros.

L'euro est entré en vigueur dans 12 pays en 2002: l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Portugal. Les 12 sont devenus 15, rejoints par la Slovénie en 2007, puis Malte et Chypre en janvier dernier.

L'ancienne devise slovaque, la couronne, introduite en 1993 après la mort de l'ancienne Tchécoslovaquie et le "divorce de velours" entre la République tchèque et la Slovaquie, restera en circulation jusqu'au 16 janvier. Les pièces pourront être changées à la banque centrale jusqu'en 2013, et les billets sans limite dans le temps. Le nouvel euro slovaque porte l'emblème du pays, les trois collines surmontées de la double croix.