Citations

« Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu. »
Sagesse asiatique.

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« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »

Benoît XVI, Palais de l’Élysée, 12 septembre 2008

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Mise en ligne (colonne de droite) de documents de l'Institut de Relations Internationales & Stratégiques (IRIS)

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Nouvelle offensive d'été de l'ARN

Nouvelle offensive d'été de l'ARN
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dimanche 20 avril 2008

Tués par des banquiers ?

Des hommes d’états américains

Durant la guerre de Sécession (1861-1865), la banque Rothschild de Londres finança les Fédérés du Nord, pendant que la banque Rothschild de Paris finançait les Confédérés du Sud en application d'un scénario mis au point en Europe durant les guerres napoléoniennes . Les deux groupes, profitant de la situation, exigeaient des intérêts usuraires de 25 à 36%.

Le président Lincoln, qui avait percé à jour le jeu des Rothschild refusa de se soumettre au diktat des financiers européens et, en 1862, il obtint le vote du Legal Tender Act par lequel le Congrès l'autorisait à revenir à l'art. 1 de la Constitution de 1787 et à faire imprimer une monnaie libérée du paiement d'un intérêt à des tiers - les dollars "Green Back" - ils étaient imprimés avec de l'encre verte . C'est ainsi qu'il a pu, sans augmenter la dette de l’Etat, payer les troupes de l'Union.

Une audace qui lui coûtât la vie. Il fut tué à Washington le 14 avril 1965 par John Wilkes Booth qui lui tira une balle dans la tête alors qu'il assistait à une représentation théâtrale dans la loge du Ford's Theater .
Son successeur, Andrew Johnson, plus raisonnable, a immédiatement et sans donner d'explication, suspendu l'impression des greenbacks.

Le 12 avril 1866, le Congrès officialisait sa décision par le vote du Contraction Act qui stipulait que les billets greenbacks de Lincoln seraient progressivement retirés de la circulation monétaire.

Les causes réelles de sa mort n'ont pas été élucidées, bien que la version officielle prétende toujours que son assassin vengeait la défaite des Sudistes. De nombreuses recherches, abondamment documentées, orientent la recherche de la vérité vers un complot beaucoup plus complexe et révèlent, notamment, que Booth reçut à ce moment-là des sommes d'argent très importantes de la part d'hommes d'affaires connus et qu'il bénéficia de nombreuses et efficaces complicités, tant pour accomplir son crime que pour quitter les lieux.

La version officielle ne plus guère à Otto von Bismarck, Chancelier de Prusse depuis 1862, qui écrivait : "La mort de Lincoln fut un désastre pour la chrétienté. Il n'y avait pas dans tous les États-Unis d'homme qui méritât de seulement porter ses bottes. Je crains que les banquiers étrangers ne dominent entièrement l'abondante richesse de l'Amérique et ne l'utilisent systématiquement dans le but de corrompre la civilisation moderne. Il n'hésiteront pas à précipiter les Etats chrétiens dans les guerres et le chaos, afin de devenir les héritiers de la terre entière."

La tentative de Kennedy

Kennedy tente de priver la FED de son pouvoir exorbitant en redonnant à l’Etat le monopole de l’impression de billets. Le 4 juin 1963, il a signé l’acte exécutif numéro 111 110, abrogeant ainsi l’acte exécutif 10289, remettant la production de billets de banque dans les mains de l’Etat et privant en grande partie de son pouvoir le cartel des banques privées.

Peu de mois avant son assassinat, John F. ­Kennedy a été semoncé par son père Joseph dans le salon ovale de la Maison Blanche. «Si tu le fais, ils te tueront!» Mais le président ne s’est pas laissé dissuader. Après que quelque USD 4 milliards en petites coupures nommées «United States Notes» eurent déjà été mises en circulation et alors que l’imprimerie de l’Etat s’apprêtait à livrer des coupures plus importantes, Kennedy a été assassiné le 22 novembre 1963.Son successeur Lyndon B. Johnson prudent à aussitôt suspendu l’impression de billets.

Les douze banques fédérales de réserve ont retiré immédiatement les billets Kennedy de la circulation et les ont échangés contre leurs propres reconnaissances de dette.

Le député Louis McFadden, un opposant de longue date aux cartels bancaires, initia une procédure de destitution à l'encontre de la Direction de la Réserve Fédérale.
Il disait à propos du crack boursier et de la dépression de 1929:

"Ce fut un événement minutieusement préparé. Les banquiers internationaux ont crée une situation de détresse, dont ils ressortiraient les maîtres du monde entier."

Après 2 tentatives d'assassinat, Mc Fadden fut empoisonné dans un banquet avant qu'il n'ait pu engager la procédure de destitution contre la FED. Les banquiers de la Réserve Fédérale prirent la décision de supprimer l'étalon-or.

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