Citations

« Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu. »
Sagesse asiatique.

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« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »

Benoît XVI, Palais de l’Élysée, 12 septembre 2008

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Mise en ligne (colonne de droite) de documents de l'Institut de Relations Internationales & Stratégiques (IRIS)

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Nouvelle offensive d'été de l'ARN

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dimanche 20 avril 2008

USA : Comment les banquiers ont pris le pouvoir

Le début d’une énorme arnaque

Aux USA, au début du XXe siècle, les familles dominantes, dans le milieu bancaire et des affaires mondiales, étaient : J.D Rockefeller - J.P Morgan - Paul Warburg - Baron Rotschild. Au début des années 1900, ces banquiers vont favoriser la création d'une banque centrale américaine privée placée sous leur contrôle.

Sachant que le Gouvernement et le public étaient très méfiants à l'égard de ce type d’institution, ils provoquèrent une spirale de faillites pour retourner l'opinion publique.

J.P. Morgan, diffusa des rumeurs à propos d'une banque importante de New York qui n'était pas solvable. Morgan savait que cela provoquerait l'hystérie collective et affecterait d'autres banques également. Par crainte de perdre leurs dépôts, les gens se précipitèrent en masse pour retirer leur argent. Par conséquent, les banques furent forcées de demander le paiement des emprûnts obligeant leurs prestataires à vendre leurs propriétés.

Une situation qui a permis aux banquiers de provoquer la panique de 1907 en la contrôlant astucieusement dans sa progression pour leur plus grand profit. C'est ainsi qu'émergea une spirale de faillites et de reprises de possessions à moindre frais.

N'ayant pas conscience de cette escroquerie, la panique de 1907 mena à une enquête du Congrès dirigée par le Sénateur Nelson Aldrich, ce dernier avait des liens privilégiés avec les cartels bancaires. Il devint plus tard membre de la famille Rockefeller maritalement. La commission dirigée par Aldrich préconisa l'implantation d'une Banque Centrale afin d'empêcher qu'une panique comme celle de 1907 ne se reproduise.

En 1910, une réunion secrète eut lieu dans la propriété de J.P. Morgan sur l'île de Jekyll au large des côtes de l'état de Georgie. C'est là que fut rédigée la loi de la Banque Centrale appelée le Federal Reserve Act. Cette législation fut écrite par des banquiers, pas par des législateurs.

Ce projet de loi fut remis entre les mains du Sénateur Nelson Aldrich, pour qu'il le soumette au Congrès. En 1913, fort du soutien des banquiers, Woodrow Wilson devint président des Etats-Unis d'Amérique, acceptant au préalable la signature du Federal Reserve Act en échange du soutien de sa candidature. Deux jours avant Noël, tandis que la plupart des membres du Congrès sont à la maison, avec leur famille, la création de la Federal Reserve Act fut votée et Wilson à son tour adopta cette loi.

Le fonctionnement de la FED

Une Banque Centrale est une institution qui produit de la monnaie pour un pays tout entier. Basés sur un précédant historique, deux pouvoirs particuliers sont propres à la pratique de la Banque Centrale :
Le contrôle du taux d'intérêt et le contrôle du stock monétaire ou inflation.

La Banque Centrale ne se limite pas à fournir de l'argent à l'économie d'un gouvernement. Elle le prête avec un taux d'intérêt. Puis, par le biais de l'augmentation ou de la diminution de la quantité d'argent la Banque Centrale régule la valeur de la monnaie émise.

Il est essentiel de comprendre que la structure entière de ce système ne peut produire qu'un seul effet sur le long terme : l'endettement.

Désormais, il n'est pas bien compliqué de comprendre leur arnaque. Chaque dollar produit par la Banque Centrale est prêté avec intérêt. Autrement dit, chaque dollar produit est réellement 1 dollar plus un certain pourcentage de dette sur ce même dollar. La Banque Centrale a le monopole de la production de la monnaie pour le pays entier et qu'ils prêtent chaque dollar avec une dette immédiate associée.

Ce qui signifie que la Banque Centrale doit en permanence augmenter sa quantité d'argent pour couvrir de manière temporaire la dette extraordinaire ainsi créée qui à son tour, puisque cet argent est également emprunté avec un intérêt crée plus de dettes. Le résultat final de ce système infaillible est l'esclavage car il est impossible pour le gouvernement ainsi que pour le public, de sortir un jour de cette dette autogénérée.

Une banque privée

Il est vital de bien comprendre que la Réserve Fédérale est une Société Privée. Elle décide de sa politique et n'est soumise à aucun contrôle réel du Gouvernement US.

C'est une banque privée qui bât monnaie et qui prête au Gouvernement de la monnaie avec des intérêts.

En imprimant des dollars, la FED convertit à moindre frais du papier sans valeur en dollars et prête ceux-ci aux Etats-Unis ainsi qu’à d’autres Etats et à d’autres ­banques contre reconnaissances de dettes. Au cours de son histoire, le cartel a donc créé des milliards de créances à partir du néant et encaissé des intérêts en permanence, ce qui lui assure sans prendre aucun risque, un profit annuel atteignant des milliards.

Des années plus tard, le président américain Woodrown Wilson écrivit avec regret :

"Notre grande nation industrielle est contrôlée par leur système de crédit. Notre système de crédit est privatisé c'est pourquoi la croissance du pays. Ainsi que toutes nos activités sont entre les mains d'une poignée d'hommes qui si nécessaire, pour des raisons qui leur incombent, peuvent geler, vérifier et détruire l'authenticité de la liberté économique. Nous somme devenus un des pays les plus mal gouvernés, des plus contrôlés et des plus soumis des gouvernements dans le monde civilisé. Il ne s'agit plus d'un Gouvernement libre d'opinion ni d'un Gouvernement de conviction élu à la majorité mais d'un Gouvernement soumis à la volonté et à la fermeté d'un petit groupe d'hommes dominants".

Le député Louis Mc Fadden révéla également la vérité suite à l'adoption du projet de loi :

"Un système bancaire mondial est en train de se mettre en place un super état contrôlé par des banquiers internationaux travaillant ensemble à l'asservissement du monde pour leur propre plaisir. La FED a usurpé le gouvernement."

Braquage en série

Le fait est, les banquiers internationaux disposaient désormais d'un dispositif rationnel pour étendre leurs ambitions personnelles.

Par exemple, de 1914 à 1919 la Fed augmente la masse monétaire de près de 100% se traduisant par des prêts considérables aux petites banques et au public. Puis en 1920, la Fed empoche de gros pourcentages sur cette masse monétaire exceptionnelle. Ce qui encourage les petites banques à emprunter massivement exactement comme en 1907, on assiste à des crises bancaires, des banqueroutes et des faillites.

Plus de 5.400 banques concurrentes hors du Système de la Réserve Fédérale s'écroulent consolidant d'autant plus le monopole de ce petit groupe de banquiers internationaux.

Au courant de ce crime, le Député Lindbergh s'approcha et déclara en 1921 :

"Sous l'autorité du Federal Reserve Act, les peurs sont scientifiquement crées. La panique actuelle est la première scientifiquement créée, élaborée comme une véritable équation mathématique."

Cependant, la panique de 1920 n'était qu'un aperçu. De 1921 à 1929 la FED augmente à nouveau le stock d'argent générant une fois de plus des emprunts colossaux de la part des populations et des banques. Il y eut aussi un type de prêt assez nouveau appelé le prêt avec intérêt dans le marché boursier.

Le plus grand braquage de toute l'histoire de l'Amérique

Le prêt avec intérêt permettait à l'investisseur de payer seulement 10% du prix de l'action et les 90% restants étaient prêtés par le courtier. Autrement dit, une personne pouvait détenir une action à 1000$, avec un apport de seulement 100$. Cette méthode était très populaire dans les années 1920 tandis que tout le monde semblait gagner de l'argent en bourse. Cependant, il y avait un piège dans cet emprunt. A tout moment il était possible d'exiger le paiement dans les 24 heures.

Cela s'appelle "une marge d'appel", et la conséquence directe d'une marge d'appel se traduit par la vente des actions achetées avec l'emprunt. Ainsi, quelques mois avant Octobre 1929, J.D. Rockefeller, Bernard Baruch et d'autres initiés se retirèrent discrètement du marché boursier. Et à partir du 24 octobre 1929 à New York les financiers qui ont fourni les prêts avec marge, ont commencé à demander le remboursement de manière massive.

Ceci entraîna instantanément la vente massive des actions sur les marchés boursiers pour quiconque devait rembourser son prêt marginal. Ensuite une crise bancaire massive se déclenche pour les mêmes raisons, provoquant à son tour la faillite de 16.000 banques permettant aux banquiers internationaux manipulateurs de non seulement racheter les banques rivales à bas prix mais aussi de racheter des sociétés entières pour quelques centimes de dollar.

Mais il ne s'arrête pas là. Plutôt que d'augmenter la masse monétaire qui fut récupérée à partir de la crise économique, la Fed la contrôlait, et alimenta une des plus grosses dépressions de l'Histoire.
Razzia sur l’or

Pour finir la mise sous tutuelle de l’économie américaine, les financiers devaient acquérir le reste de l'or en circulation. Prétextant "d'aider à mettre fin à la crise", une saisie de l'or fut organisée en 1933. Sous peine d'emprisonnement de 10 ans il fut exigé à tout citoyen américain de remettre ses lingots d'or au Trésor Public. Les banquiers parvinrent ainsi à déposséder la population des richesses aurifère qui leur restait.

Suite à quoi, les banquiers de la Réserve Fédérale prirent la décision de supprimer l'étalon-or.
À la fin de l'année 1933 le standard de l'or fut aboli. Si l'on observe un billet de 1 dollar avant 1933 il est écrit valeur équivalente en or. Prenons un dollar d'aujourd'hui, il est écrit qu'il a une valeur légale ce qui signifie qu'il n'est fondé sur absolument rien. Ca vaut un morceau de papier.

L'unique chose qui donne de la valeur au dollar, c'est la quantité mise en circulation. Désormais, le pouvoir de réguler la masse monétaire est aussi celui de réguler sa valeur. C'est aussi le pouvoir de mettre des économies et des sociétés entières à genoux, comme l’avait bien compris Mayer Amschel Rothschild - Fondateur de la dynastie Rothschild :

"Donnez-moi le contrôle de la masse monétaire, et je me fiche de qui fait les lois."

Une situation que les Pères Fondateurs des Etats-Unis, bien conscients du risque, avaient anticipées :

"Je considère que les institutions bancaires sont plus dangereuses qu'une armée si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire les banques et les corporations qui se développeront autour d'elles vont dépouiller les gens de leurs possessions jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leur Pères avaient conquis."

Thomas Jefferson (1743-1826)

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