Citations

« Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu. »
Sagesse asiatique.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »

Benoît XVI, Palais de l’Élysée, 12 septembre 2008

Actions du mois

Google Groupes
Abonnement au groupe ARNif
E-mail :
Visiter ce groupe

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Mise en ligne (colonne de droite) de documents de l'Institut de Relations Internationales & Stratégiques (IRIS)

http://www.iris-france.org/



Nouvelle offensive d'été de l'ARN

Nouvelle offensive d'été de l'ARN
Si vous souhaitez vous joindre à cette action, l'ARN tient à votre disposition l'affiche ci-dessus. Pour tout renseignement prenez contact avec : René Delacroix 16 rue Marcelin Berthelot. 92230 Gennevilliers. TéL 01 47 98 25 41

lundi 16 juin 2008

José Manuel Barroso : le traité de Lisbonne "n'est pas mort"

Le référendum irlandais sur le traité européen de Lisbonne : fait apparaître le "non" en tête dans 37 des 43 circonscriptions. Pourtant, le "non" franc des Irlandais ne remettra pas en cause le processus de ratification en cours, ont assuré les pays membres de l'Union européenne. Avec 53,4% de "non" contre 46,6% de "oui", les Irlandais ont nettement rejeté le traité de Lisbonne proposé à l'ensemble des Européens sans qu'ils soient consultés. Une telle situation montre clairement le fossé qui ne cesse de se creuser entre les peuples européens et leurs représentants qui sont très nombreux à être disposés de les trahir.

le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker a estimé que le traité ne pourrait pas entrer en vigueur au 1er janvier 2009 comme initialement prévu. Mais le traité de Lisbonne "n'est pas mort" pour autant, ont affirmé le président de la Commission européenne José-Manuel Barroso et le Premier ministre slovène Janez Jansa, dont le pays préside l'UE.

"Le 'non' irlandais et une réalité politique" et il faut prendre celle-ci en compte "de façon à ce que cet incident irlandais ne devienne pas une crise", a déclaré samedi Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat français a déclaré que le non irlandais constituait "une difficulté de plus", mais que ce n'était pas un "hasard", appelant à "changer notre façon de faire l'Europe", que beaucoup d'Européens ne "comprennent pas". "Nous pensons avec Mme Merkel qu'il faut continuer le processus de ratification, puisqu’aujourd'hui 18 Etats européens ont ratifié, il faut que les autres continuent à ratifier, c'est d'ailleurs l'intention de Gordon Brown que j'ai eu au téléphone hier, de façon à ce que cet incident irlandais ne devienne pas une crise", a poursuivi Nicolas Sarkozy.

Aucun commentaire: