Une position défendue par les Européens de l'Est, qui font de l'entrée de la Croatie dans l'UE un point non négociable. "L'opinion selon laquelle le référendum en Irlande rend la perspective européenne pour la Croatie, la Serbie ou l'Ukraine impossible est inacceptable", a lancé le premier ministre polonais, Donald Tusk. "Ce n'est pas l'Ukraine, ce n'est pas la Serbie, ce n'est pas la Croatie ou la Turquie qui ont tenu un référendum avec pour résultat un non", a soutenu M. Tusk, martelant qu'il ne devait pas y avoir de "lien quel qu'il soit" entre le traité et l'élargissement de l'UE.
Citations
« Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu. »
Sagesse asiatique.
Sagesse asiatique.
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« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »
Benoît XVI, Palais de l’Élysée, 12 septembre 2008
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Mise en ligne (colonne de droite) de documents de l'Institut de Relations Internationales & Stratégiques (IRIS)
Nouvelle offensive d'été de l'ARN
lundi 23 juin 2008
La non ratification du traité de Lisbonne n'est pas un frein à l'élargissement
Interrogé par Le Monde.fr, Dominique Rousseau, professeur de droit public à Montpellier-I, estime que, juridiquement, la non ratification du traité de Lisbonne n'est pas un frein à l'élargissement. Et que de nouvelles entrées peuvent se faire sur la base du traité de Nice.
Une position défendue par les Européens de l'Est, qui font de l'entrée de la Croatie dans l'UE un point non négociable. "L'opinion selon laquelle le référendum en Irlande rend la perspective européenne pour la Croatie, la Serbie ou l'Ukraine impossible est inacceptable", a lancé le premier ministre polonais, Donald Tusk. "Ce n'est pas l'Ukraine, ce n'est pas la Serbie, ce n'est pas la Croatie ou la Turquie qui ont tenu un référendum avec pour résultat un non", a soutenu M. Tusk, martelant qu'il ne devait pas y avoir de "lien quel qu'il soit" entre le traité et l'élargissement de l'UE.
Une position défendue par les Européens de l'Est, qui font de l'entrée de la Croatie dans l'UE un point non négociable. "L'opinion selon laquelle le référendum en Irlande rend la perspective européenne pour la Croatie, la Serbie ou l'Ukraine impossible est inacceptable", a lancé le premier ministre polonais, Donald Tusk. "Ce n'est pas l'Ukraine, ce n'est pas la Serbie, ce n'est pas la Croatie ou la Turquie qui ont tenu un référendum avec pour résultat un non", a soutenu M. Tusk, martelant qu'il ne devait pas y avoir de "lien quel qu'il soit" entre le traité et l'élargissement de l'UE.
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