Citations

« Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu. »
Sagesse asiatique.

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« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »

Benoît XVI, Palais de l’Élysée, 12 septembre 2008

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Mise en ligne (colonne de droite) de documents de l'Institut de Relations Internationales & Stratégiques (IRIS)

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Nouvelle offensive d'été de l'ARN

Nouvelle offensive d'été de l'ARN
Si vous souhaitez vous joindre à cette action, l'ARN tient à votre disposition l'affiche ci-dessus. Pour tout renseignement prenez contact avec : René Delacroix 16 rue Marcelin Berthelot. 92230 Gennevilliers. TéL 01 47 98 25 41

dimanche 20 juillet 2008

José Manuel Barroso candidat à sa succession

Fort du soutien déclaré de la France et de l'Italie, José-Manuel Barroso prend ses marques pour se succéder à lui-même à la tête de la Commission européenne.

"Si je devais prendre une décision aujourd'hui à propos d'un second mandat, je dirais oui, à condition bien sûr d'avoir le soutien des Etats membres et du Parlement européen", a lâché ce week-end au quotidien néerlandais NRC Handelsblad José-Manuel Barroso, dont le mandat arrive à échéance à l'automne 2009.

Coup sur coup, la France et l'Italie viennent de l'adouber pour un second mandat.
"Lorsque nous devrons, bientôt, nommer un président de la Commission, notre candidat sera le président Barroso. Nous voyons en toi le meilleur président", lui a déclaré mardi le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi.

Nicolas Sarkozy lui a aussi apporté publiquement son soutien, tout comme le président du Parlement européen, le conservateur allemand Hans-Gert Pöttering.

Arrivé à Bruxelles en 2004 avec l'intention de moins légiférer et de promouvoir une Europe des "résultats", José-Manuel Barroso est tenus par certains, pour responsable d’un bilan institutionnel guère brillant : un rejet du projet de Constitution européenne en 2005 en France et aux Pays-Bas, suivi d'un "non" irlandais le 12 juin au texte qui lui a succédé, le traité de Lisbonne.

Le choix du futur chef de l'exécutif européen, revient aux dirigeants des 27 pays membres et Allemagne, pourraient bien in fine être tentés de faire le choix du renouveau à Bruxelles.

source : AFP

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