
De son côté, le baril de Brent à Londres a atteint 100,53 dollars. Ils ont ainsi dépassé leurs précédents records établis la veille, où le "light sweet crude" s'était élevé en cours de journée jusqu'à 101,43 dollars et le Brent à 100,03 dollars. Ce dernier avait dépassé ce jour là pour la première fois la barre symbolique des 100 dollars.
Outre les tensions géopolitiques, les prix du brut grimpent aussi en réaction aux mauvais chiffres économiques annoncés aux Etats-Unis.
En milieu d'après-midi, ce mercredi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en avril était stable à 100,85 dollars (-3 cents), le rapport du Département de l'énergie sur les stocks de brut ne faisant pas redescendre les cours de leurs sommets. Les stocks de brut ont gagné 3,2 millions de barils à 308,5 millions de barils, lors de la semaine achevée le 22 février, alors que les analystes comptaient sur une progression de 2,7 millions de barils.
Les réserves d'essence se sont étoffées de 2,3 millions de barils à 232,6 millions de barils, largement plus que les 375.000 barils anticipés. Mais les réserves de produits distillés, qui comprennent notamment le fioul de chauffage, fortement consommé en période hivernale, ont elles fondu de 2,5 millions de barils à 120 millions de barils, à peu près comme l'attendaient les analystes.
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