« Il est important de promouvoir une unité qui ne peut pas et ne veut pas être une uniformité, mais qui est capable de garantir le respect des différences nationales et des diverses traditions culturelles qui constituent une richesse dans la symphonie européenne, en rappelant d’autre part que “l’identité nationale elle-même ne se réalise que dans l’ouverture aux autres peuples et à travers la solidarité envers eux” (Ecclesia in Europa, n. 112). »
Si vous souhaitez vous joindre à cette action, l'ARN tient à votre disposition l'affiche ci-dessus. Pour tout renseignement prenez contact avec : René Delacroix 16 rue Marcelin Berthelot. 92230 Gennevilliers. TéL 01 47 98 25 41
La commission de l'Industrie du Parlement européen s'est prononcée en faveur d'une révision des objectifs communautaires en matière d'utilisation des biocarburants.
Elle précise que l'objectif d'une utilisation de 10% de carburants issus d'une énergie renouvelable dans le transport routier d'ici 2020 devra être réalisé à 40% grâce à de telles sources de seconde génération. L'énergie en question pourrait notamment être issue d'électricité ou d'hydrogène produits à partir de déchets, de résidus, d'algues ou encore de biomasse lignocellulosique.
L'objectif initial de 10% proposé par la Commission européenne est vivement critiqué par les groupes de protection de l'environnement, ces derniers considérant que les biocarburants de première génération sont responsables de la hausse des prix des matières premières alimentaires et encouragent la déforestation.
L'exécutif européen est jusqu'à présent resté flou quant à ces proportions car le vote de la très influente commission de l'Industrie, est très attendu et qu'elle devrait constituer la position finalement adoptée par le parlement européen.
La négociation finale entre parlementaires et Etats membres, qui devrait aboutir à une redéfinition de la législation communautaire sur les biocarburants, est attendue pour fin 2008 ou début 2009.
L'organisation de l'Alliance pour la Résistance Nationale
L’organisation
Fondée par des souverainistes, l’Alliance pour la Résistance Nationale (ARN) adopte une démarche radicalement critique contre le principe de l’intégration politique européenne. L’ARN défend le principe de la souveraineté nationale (c’est-à-dire le refus de toute tutelle extérieure) et de la souveraineté populaire (l’exigence que ce soit le peuple qui décide et non « des élites » autoproclamées).
Rassemblement de patriotes, ses adhérents, de sensibilités politiques fort diverses, regroupent aussi des citoyens qui ne se reconnaissent dans aucun courant particulier.
Organisation militante de terrain, nous luttons pour la liberté et l’indépendance de la France dans un cadre associatif de la loi de 1901.
Le fonctionnement
L’ARN fonctionne comme les associations qui se sont spécialisées dans un domaine précis (exemple : groupe anti OGM, groupe anti vivisection etc…). L’ARN s’est spécialisée dans la dénonciation des travers de la construction européenne.
L’ARN est dirigé par les militants de terrains les plus actifs. Les militants se réunissent une fois par semaine pour organiser les actions hebdomadaires. Lors de ces réunions sont aussi définies les projets de campagnes à venir.
Depuis 2004, nous faisons d’importante campagne d’affichage en région parisienne et en province sur les thèmes : « Sortons de la zone euro, sortons de l’europe, retour du franc, europe = chomage, délocalisation, inflation, croissance zéro ».
Colloques et manifestations
L’ARN aussi connue sous la dénomination du groupe d’Asnières, depuis 2001, a organisé en son nom propre 7 manifestations de rue souverainistes et a participé en association avec d’autres groupes à la mise en place d’une dizaine de cortèges ou de rassemblements souverainistes.
L’ARN compte de nombreux membres qui militent dans les organisations souverainistes depuis le traité de Maastricht (décembre 1991). Depuis 6 ans, elle organise dans le cadre du « Comité du franc du 17 février » chaque année, le 17 février, une manifestation de protestation contre la disparition de notre monnaie nationale au profit de l’euro.
Objectif
Depuis 2005, cette manifestation à pris une tournure plus revendicative avec l’exigence du rétablissement du franc comme monnaie nationale. Elle est suivie d’un colloque où des spécialistes de l’économie, viennent expliquer et analyser, les conséquences du passage à la monnaie unique sur l'économie française.
Le 29 mai 2005, le peuple français a rejeté le projet de constitution européenne. Or, ce même projet a été signé, en violation du suffrage universel, par le chef de l’Etat sous la forme du traité de Lisbonne.
En ratifiant le traité de Lisbonne, le parlement a également ignoré la volonté du peuple et trahi sa confiance.
Le traité de Lisbonne constitue une atteinte décisive à l’indépendance nationale et menace directement l’unité de la nation. Il met fin à notre liberté acquises au prix de tant de sacrifices et à notre faculté de décider de notre avenir.
Il jette les bases juridiques de l’inégalité en droits des citoyens, en violation de nos traditions historiques et de notre conception de la vie en société.
Il est donc illégitime et inconstitutionnel. Les Français jugeront, le moment venu, les auteurs de cette forfaiture.
En conséquence, nous, signataires de ce manifeste, considérons à compter d’aujourd'hui, 4 février 2008, comme nuls et non avenus tous les textes, internes et européens, ainsi que tous les jugements, qui seront à l’avenir pris, directement ou indirectement, en application du traité de Lisbonne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire