
- La priorité unique de lutte contre l'inflation.
- La passivité à peu près totale vis-à-vis du taux de change (contrairement à ce que pratiquent les Etats-Unis).
- Une capacité de réaction beaucoup trop lente de la BCE aux chocs économiques.
L’Europe ne s'affranchit pas des cycles économiques et est même moins réactive.
Une étude de l'OFCE compare les politiques de taux d'intérêts depuis 2001 : elle montre qu'en 2001 la BCE a réagi avec cinq mois de retard sur la FED aux difficultés économiques internationales - à l'époque de l'éclatement de la bulle technologique - et que ce retard, semble-t-il, se renouvelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire