
Ce vendredi 21 mars à Cherbourg, Nicolas Sarkozy, a annoncé une série de propositions pour une réduction du nombre d'armes nucléaires, de missiles et d'avions qui sera réduit d'un tiers affaiblissant d’autant la composante aéroportée des forces de la dissuasion nucléaire française.
Jusqu'à présent la France disposait de 60 Mirage 2000-N, auxquels vont se substituer progressivement à partir de 2009 des Rafale.
Nicolas Sarkozy a proposé des négociations sur un traité d'interdiction de production de matières fissiles pour les armes nucléaires et un moratoire immédiat sur cette production. Les Etats-Unis avaient déposé en mai 2006 une proposition de traité semblable devant la Conférence du désarmement des Nations unies à Genève.
Nicolas Sarkozy a demandé «l'ouverture de négociations sur un traité interdisant les missiles sol-sol de portée courte et intermédiaire».
Le président a également proposé à ses partenaires européens de la France un «dialogue ouvert sur le rôle de la dissuasion» nucléaire française dans le cadre de la sécurité européenne.
Enfin, Sarkozy a introduit une nouvelle notion dans la doctrine française, celle d'un «avertissement nucléaire».
Cet avertissement pourrait prendre la forme d'une IEM (Impulsion électro-magnétique), consistant à faire exploser une ou plusieurs têtes nucléaires à haute altitude, ce qui a pour effet de paralyser instantanément et de manière irréversible l'ensemble des systèmes d'informations (ordinateurs, internet, téléphone, télévision, radio...) sur plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de milliers de km2.
Le jour même, le journal « Le Point » révélait que le président comptait réduire significativement les effectifs de l'armée
Ratification du traité de Lisbonne, alignement diplomatique de la France sur les positions américaines, bradage de la politique africaine de la France, réduction d’effectif pour l’armée, affaiblissement de notre dissuasion nucléaire qui a terme sera placée entre les mains de l’UE, le travail de démolition effectué par Nicolas Sarkozy en 10 mois est impressionnant.
On se demande franchement ce qu’il restera de notre pays après cinq ans de Sarkosysme.
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