
Une position défendue par les Européens de l'Est, qui font de l'entrée de la Croatie dans l'UE un point non négociable. "L'opinion selon laquelle le référendum en Irlande rend la perspective européenne pour la Croatie, la Serbie ou l'Ukraine impossible est inacceptable", a lancé le premier ministre polonais, Donald Tusk. "Ce n'est pas l'Ukraine, ce n'est pas la Serbie, ce n'est pas la Croatie ou la Turquie qui ont tenu un référendum avec pour résultat un non", a soutenu M. Tusk, martelant qu'il ne devait pas y avoir de "lien quel qu'il soit" entre le traité et l'élargissement de l'UE.
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